Friday, December 5, 2008

Together to build a better future for Liberian children


Williams and Garblah nourished the dream of having children. However, Mother Nature did not want to grant their wish. So they decided, four years ago, to found an orphanage: the Williams & Garblah Orphanage, located in Grand Bassa, Liberia, now counts 80 small Liberians, aged from 5 to 17. These children suffered from the 14-year long civil war that ravaged their country and killed about 350,000 people in total.


Among the deceased were parents, grandparents, brothers and sisters kids can no more rely on. Some children became orphans of mother or father, both in the worst case. The conflict left many survivors vulnerable, to the extent that when the family exists, it cannot always cater for the children's needs. Trapped in such a situation, people have nothing else to decide than to separate from the child. Sometimes, they turn to an orphanage.


While almost half of the Liberian population is under 15, investing in education and youths is crucial to ensure peace and development in Liberia. Helping to improve the lives of children at a younger age increases the chance of offering them a brighter future. To achieve this objective, Williams and Garblah give their body and soul to their orphans. It is a success story but a lot remains to be done to guarantee the well-being of the children in the long term. This is how everyone can contribute by giving money, equipment, materials, clothes, etc.


I am involved by trying to raise funds and collect goods needed by the orphanage. My first step – the most obvious – was to create a group on Facebook to inform the numerous users about the cause and appeal to their bounty. To know more, consult Facebook, Williams & Garblah Orphanage.

Ensemble construisons un avenir meilleur pour les enfants du Libéria


Williams and Garblah nourrissaient le rêve d'avoir des enfants. Dame Nature n'exauçant pas leur souhait, ils décidèrent, il y a quatre ans, de fonder un orphelinat : l'orphelinat Williams & Garblah Orphanage, situé à Grand Bassa au Libéria, compte à présent 80 petits Libériens, âgés de 5 à 17 ans. Ces enfants ont souffert de la guerre civile qui ravagea le pays durant 14 années et tua environ 350 000 personnes au total.

Parmi les morts, des parents, grands-parents, frères et sœurs sur qui les enfants ne peuvent plus compter. Certains enfants sont devenus orphelins de mère ou de père, des deux parents dans le pire des cas. Le conflit a rendu beaucoup des survivants vulnérables, au point que lorsque la famille existe, elle ne peut pas toujours subvenir aux besoins des enfants. Enlisées dans cette situation, des personnes décident de se séparer des enfants. Parfois, ils se tournent vers un orphelinat tel que celui de Williams & Garblah.

Alors que près de la moitié de la population libérienne a moins de 15 ans, investir dans l'éducation et les jeunes est crucial pour assurer la paix et le développement au Libéria. Aider à améliorer la vie des enfants depuis leur plus jeune âge augmente les chances de leur offrir un meilleur avenir. Pour y parvenir, Williams et Garblah se dévouent corps et âme pour gérer l'orphelinat qu'ils ont fondé. C'est une success story, mais beaucoup reste à faire pour garantir le bien-être des enfants dans le long terme. C'est ainsi que tout le monde peut contribuer en donnant de l'argent, de l'équipement, du matériel, des vêtements, etc.


J'ai choisi de m'engager en essayant de collecter des fonds et des biens dont l'orphelinat a besoin. Mon premier pas - le plus évident - a été de créer un groupe sur Facebook afin de faire connaître cette cause aux nombreux utilisateurs et d'éveiller leur générosité. Pour en savoir plus dès maintenant, veuillez consulter Facebook, Groupe Williams & Garblah Orphanage.

Thursday, December 4, 2008

L’art en aide aux enfants victimes de la guerre


Johnny Mad Dog, film réalisé par Jean-Stéphane Sauvaire et produit par Mathieu Kassovitz et Benoît Jaubert, a été tourné au Libéria.


« Afrique, en ce moment même.
Johnny, 15 ans, enfant-soldat aux allures de rappeur, armé jusqu'aux dents, est habité par le chien méchant qu'il veut devenir.
Avec son petit commando, No Good Advice, Small Devil et Young Major, il vole, pille et abat tout ce qui croise sa route. Des adolescents abreuvés d'imageries hollywoodiennes et d'information travestie qui jouent à la guerre...
Laokolé, seize ans, poussant son père infirme dans une brouette branlante, tâchant de s'inventer l'avenir radieux que sa scolarité brillante lui promettait, s'efforce de fuir sa ville livrée aux milices d'enfants soldats, avec son petit frère Fofo, 8 ans.
Tandis que Johnny avance, Laokolé fuit...
Des enfances abrégées, une Afrique ravagée par des guerres absurdes, un peuple qui tente malgré tout de survivre et de sauvegarder sa part d'humanité. »


Plus qu'un chef d'œuvre cinématographique, le film a servi comme point de départ au travail avec d'anciens enfants-soldats, âgés entre 12 et 17 ans, afin de leur apporter un soutien thérapeutique et de préparer un avenir meilleur. Comment ? En formant d'anciens enfants-soldats au métier d'acteur et de les faire participer au tournage. La fiction a rejoint la réalité... de ces enfants qui ont pu raconter leur histoire et ajuster le scénario en fonction de leur expérience. Inédit.

Une fondation existe d'ailleurs : la Fondation Johnny Mad Dog se propose de développer des programmes éducatifs et culturels, en incluant les jeunes libériens victimes de 14 années de guerre civile. La méthode prônée s'appelle l'ar-thérapie qui consiste à utiliser l'art (théâtre, chant, musique, vidéo) pour soigner de manière holistique divers maux (psychiques, physiques et sociaux).

Pour en savoir plus sur les projets que la Fondation entend développer, voir le site officiel Johnny Mad Dog, ainsi que le site de la Fondation.

A noter que le film est inspiré du roman intitulé en français « Johnny chien méchant » d'Emmanuel Dongala.

Tuesday, December 2, 2008

The world is remembering the people living with HIV/AIDS

As the World AIDS Day got celebrated on December 1, the Integrated Regional Information Network (IRIN) reports on laws that convict HIV-positive people in transmitting the disease, no matter how it is done.

"In Africa, the continent hardest hit by the HIV/AIDS pandemic, laws criminalising HIV are already on the books in Guinea-Bissau, Niger and Sierra Leone.

A growing number of countries have implemented HIV-specific laws that criminalise HIV transmission, or affect HIV-positive people in relation to basic freedoms, such as the right to have a family or the right to travel.

New laws are being debated in Angola, the Democratic Republic of Congo and Uganda, among others. Supporters argue such laws are firmly rooted in human rights and would offer some recourse to the HIV-positive, while protecting those who are HIV-negative.

Some AIDS activists say these laws could drive the pandemic further underground and undermine gains made in encouraging voluntary testing, if knowing your status could expose you to being accused of committing a crime."

To know more, read "Crime and Punishment: Criminalisation and HIV" and visit the World AIDS Days 2008 website.

The fight against AIDS is also high on the agenda of Eldis, the Institute of Development Studies (IDS) and DFID Health Resource Centre with this special page "HIV and AIDS".

Finding meaning in helping others


McCall, 41, most famous for working herself and the crowd outside the Big Brother house into a frenzy, is an intriguing woman. In person she is thoughtful and quietly spoken. It's obvious from the way she describes her experiences in Africa, where she made films for our appeal that you can watch online, that her difficult background makes her hypersensitive to other people's pain; though in this case, she says, she can only 'sympathise rather than empathise. The troubles I went through, you could say, were self-inflicted'.
The charity work she does now is part of that recovery. 'There's a motto in the 12-step programme [the Alcoholics Anonymous recovery programme], "You can only keep what you have by giving it away," and I get so much back from the experiences I've had. I hope I enrich my children's lives with my stories of where I've been, and if I can do anything to help anyone else, I will.'
Travelling to Liberia was one of the most 'intense, emotional' trips she has ever done.
 Excerpts from the Sunday Times; to read the full text, see online Liberia was 'intense, emotional'.
Davina's visit is part of Save The Children's Kingsville Project, that The Sunday Times is supporting. Kingsville is a rural community of Liberia, 54 km from Monrovia, where 22,000 people live precariously.